
363- La Voie du Tram arrive au domaine de Grand Fayard, sur la gauche.

364- Au Grand Fayard, on traverse la Route de la Feyta.

365- Au Grand Fayard, des balades à Montfalcon et Roybon.

366- Au Grand Fayard, le tram repart vers Roybon.

367- La Voie du Tram arrive à la Route de Montfalcon à Roybon.

368- La Voie du Tram arrive dans la vallée de la Galaure.
Maintenant, nous sommes descendus du plateau par une
jolie petite route et voilà nous sommes arrivés dans la haute vallée de
la Galaure, une rivière qui a pris sa source dans le Chambaran et qui
va rejoindre la Drôme dans une dizaine de kilomètres pour se
jeter dans le Rhône à Saint Vallier après avoir traversé
Montfalcon et Saint Clair sur Galaure dans l'Isère et puis, Le Grand
Serre, Hauterives, Châteauneuf de Galaure, La Motte de Galaure et Saint
Uze dans la Drôme. Là où nous sommes, sur la route de Montfalcon à
l'entrée de Roybon, on est à 10 km du terminus de l'ancien tramway de
Saint Vallier au Grand Serre, mais la frontière entre les départements
interdisait à jamais la jonction entre les deux tramways probalement.

369- Le tramway traverse La Galaure sur un 'nouveau' pont.

370- On passe devant les Voyages Perraud.

371- Et puis, la Maison du Canton et de Pays.
500 mètres plus loin, on traverse un pont sur la
Galaure. Si
on regarde à droite sur le pont, on peut voir, dans l'image 369, les
restes du soubassement de l'ancien pont sur lequel roulait,
probablement, le tramway. Maintenant, on arrive devant les cars
Perraud, ici, dans l"image 370, on voit un car dans les couleurs des
transports du Pays Voironnais, mais ils possèdent aussi d'autres cars
qui portent les enseignes de Transisère, les dignes successeurs de
notre tramway TDI. Maintenant, on arrive devant une zone d'utilités
publiques sur la droite. On y trouve les Sapeurs Pompiers, un
vétérinaire
et la
Maison du Canton et du Pays de Chambaran, on la voit dans la photo 371,
prise en
2009. Maintenant, c'est la maison de Communauté de Communes du Pays de
Chambaran, suite à un remaniement des cantons en 2015. Roybon n'est
plus chef lieu du canton, mais elle fait
partie actuellement, du canton de la Bièvre, centralisé à La Côte
Saint André.

372- Le restaurant en galets, le Bon Roy, Roybon

373- Le tram passe devant l'ancien 'Café des Tramways'.

374- Le tramway traverse la Place Jean Perraud, vue ici en 2009.

375- L'arrêt bus Transisère, place Jean Perraud réaménagée, en 2012.
Le tramway entre en ville et il passe devant l'auberge
Le Bon Roy. C'est un bâtiment fabriqué avec des galets de pays, comme
on a déjà vu dans le nord-isère et le plateau de Bièvre, mais ici, à
Roybon, c'est vraiment le style qui prédomine. Le bar-restaurant
est toujours actif, mais la taille de l'édifice laisse supposer
qu'autrefois il y avait une forte affluence. Maintenant c'est le
rendez-vous des cyclo-touristes et randonneurs qui trouvent leur
plaisir dans les environs. Et puis, on traverse la place Jean Perraud,
laissant à gauche, l'ancien Café des Tramways, lui aussi une magnifique
construction de taille imposante en galets, mais qui, malheureusement,
a fermé ses portes, apparemment. L'image 374 est prise en 2009,
maintenant, comme on peut voir dans les images 375 et 376, la place a
reçu une cure de jouvence.

376- La place Jean Perraud et les anciens bureaux et ateliers TOD.

377- Vue de 180° de l'arrivée et départ(à gauche) à la gare de l'ancien
tramway TOD, au centre droite, on voit les bureaux et les anciens
ateliers de la compagnie et au fond
à droite, l'auberge Le Bon Roy.

378- La zone de manutention de l'ancien tramway TOD en 2012.
Voilà à quoi ressemble la zone de manutention du
tramway à des périodes séparées d'une centaine d'années. La gare, dans
un état resplendissant, est devenu le bureau de tourisme et les
atéliers de réparation du tramway sont, maintenant les ateliers de
réparation des voitures Renault. Le bâtiment à gauche dans l'image 378,
appartient au service d'entretien routier de l'Isère.

379- Il y a une centaine d'années, la zone de manutention du tramway à
Roybon.

380- Vue générale de Roybon en arrivant de l'ouest, côté Montfalcon et
Chambaran.

381- Vue générale de Roybon, prise de la colline au sud de la ville.
Dans ses deux vues générales de Roybon prises à
l'époque de notre tramway, on voit bien les infrastructures de la
compagnie des tramways de l'Isère, à la droite de l'image 380 et plus
largement sur l'image 380. Mais, avant de quitter cette ville un
peu perdue entre toutes ces collines, une petite virée au centre
s'impose. D'abord, il y a la fameuse Statue de la Liberté, visible dans
l'image 382, donnée par le sculpteur Bartholdi à son ami Mathias
Saint-Romme, maire de Roybon, en honneur de son père Henri qui était un
homme politique célébre de l'époque. La statue fut érigée en 1906 et
surmonte un monument à Henri Saint Romme du sculpteur
Auguste Davin. Il y a plusieurs bâtiments intéressants à regarder,
mais les plus caractéristiques sont sûrement ceux fabriqués en galets
et briques rouges, les matériaux disponibles sur place. L'image 382
montre la jolie petite pharmacie et la photo 384 montre la belle
église, érigée en 1878. La ville reste assez animée, le tramway, dans
son temps, était certainement un
atout considérable pour la ville. Maintenant, il y a le projet
Center Parcs qui est sur la table pour redynamiser
la ville, je vous laisse faire votre propre opinion. Mais, nous n'avons
plus de temps à
perdre, si on veut arriver à Saint Marcellin avant la nuit, il faut
rapidement reprendre le tramway qui nous attend.

382- La Statue de la Liberté, fidéle réplique de l'originale, face à la
mairie, Roybon.

383- La pharmacie en galets et briques de Roybon.

384- L'église en galets et briques rouge de Roybon.

385- Le lac de Roybon et le Camping de l'Aigue Noire vus du ciel.
Nous sommes partis de Roybon par la Route de Saint
Antoine, mais le tramway, lui, suivait la rive droite de
l'Aigue Noire, la rivière qui coule en bas de la ville de Roybon et qui
rejoint la Galaure, juste avant le pont qu'on a vu, à l'entrée de la
ville. Maintenant, on a fait un magnifique lac avec la construction
d'un barrage.
Au bout du lac, il y a le camping municipal. L'ensemble de l'étang de
pêche et du terrain de loisirs est un attrait touristique indéniable.
Maintenant, on arrive au bout du lac et du camping, en bas à gauche
dans l'image 385. Dans l'image 386, on peut imaginer le tramway
arrivant par le petit sentier derrière le portail au bout du camping,
en face de la route de Chevrières, à
droite dans l'image 386.

386- La route de Saint Antoine qui vient de Roybon, à gauche, le
camping.

387- Le pont sur l'Aigue Noire et le camping de Roybon.

388- L'arrêt bus 'Camping' du bus Transisère actuel.
Le tramway a, maintenant, rejoint la route de Saint
Antoine et s'apprête à traverser l'Aigue Noire. De nos jours il y a un
beau pont sur ce qui est, en temps normal, un petit ruisseau, mais qui
peut bien gonfler par un temps pluvieux. Le pont d'origine était
sûrement en galets. De l'autre côté du pont, dans l'image 388, on voit
l'entrée du camping à droite, mais aussi, l'arrêt du bus
Transisère 5250. C'est le
service de Roybon à Saint Marcellin qui remplace le tramway. La
concessionnaire est, bien sûr, Perraud Voyages de Roybon. Le tram
continue sur cette route, le GC20 de l'époque, maintenant la D20, sur
la droite de la chaussée en suivant la rive gauche de l'Aigue Noire.
Dans l'image 389, on peut voir à droite de la Route de Saint Antoine,
l'Impasse de Gargamelle qui traverse notre petit ruisseau, parmi des
paysages magnifiques.

389- La route suit l'Aigue Noire, ici, à l'Impasse de Gargamelle.

390- L'arrêt bus 'L'Aigue Noire' du bus à droite.

391- Le tramway prend à gauche sur la Route de La Trappe.
La photo 391 montre la Route de La Trappe en décembre
2009. C'est la route que prenait le tramway une centaine d'années
auparavant. On a pris de la hauteur par rapport à Roybon (500 m) et
même au plateau du Camp de Chambaran (568 m). On est dans le Bois de
Gargamelle, à plus de 600 mètres d'altitude. Les
hivers peuvent être rudes, on imagine notre Pinguely 030t en train
d'écarter des congères ou de glisser sur des rails glacés. Le bus
Transisère actuel ne passe plus à La Trappe mais continue tout droit
directement à Dionay.

392- On arrive à l'entrée du l'Abbaye de La Trappe de Chambaran.

393- Un tramway arrive à la station de La Trappe en provenance de Saint
Marcellin.

394- L'entrée de l'Abbaye de La Trappe de Chambaran.

395- Le portail de l'Abbaye ouvert au public.

396- À l'intérieur de l'Abbaye; l'entrée de l'église.
Le tramway a pris la vallée du Galauret, un ruisseau
qui alimente l'Aigue Noire. C'est là où on a fondé, à partir de 1868,
sur les ruines d"une vieille ferme abondonnée, une Abbaye capable
d'accueillir une quarantaine de moines. Leur activité principale était
la fabrication de bière. Après l'expulsion des moines en 1903, la
brasserie est prise en main par un brasseur Roybonnais, qui conserve le
nom Brasserie de la Trappe de Chambarand, mais qui doit cesser ses
activité en 1922. 1931 sera marquée par l'arrivée des religieuses, qui
se spécialisent dans la production de fromage, qui cessera également en
2003. Actuellement , la communauté compte 32 sœurs qui vivent des
produits de leur ferme et des recettes de leur magasin de produits
monastiques. Récemment, un brasseur de Saint Étienne de Saint Geoirs a
repris la production de bière, sous le nom Brasserie de Chambaran.
L'image 393 montre un tram voyageurs qui arrive de Saint
Marcellin à l'arrêt de La Trappe, en référence aux moines, des
trappistes, qui y habitaient. Officiellement, l'arrêt était classé
comme station, ce qui indiquerait la présence, peut-être, d'un petit
abri,
si il y en avait un, on ne le voit pas sur les photos. Ce qu'on voit
est le dédoublement des voies pour les besoins de chargements et
manipulations des wagons et locomotives. Ensuite, le tramway passe
devant un lac formé par un
barrage sur le Galauret. C'est une jolie réserve d'eau et un étang de
pêche. Si le tramway continuait sur cette route, il arriverait
directement à Saint Marcellin, donc pour récupérer son trajet vers
Saint Antoine il doit suivre sa propre route à travers bois et champs,
ce qui explique la grande courbe de la voie dans l'image 397. Comme on
peut voir dans l'image 398, le talus du tramway est toujours visible,
surtout en hiver.
,

397- Un tramway quitte la station 'La Trappe' et commence son chemin en
voie propre.

398- On regarde en arrière vers l'Abbaye, à gauche, le talus de
l'ancien tramway.

399- Après avoir quitté La Trappe, le tramway part en voie propre.

400- Le tramway part à travers bois et champs en voie propre.
Le tramway traverse des bois et des champs pour
s'approcher de sa prochaine étape. On traverse le Chemin de
l'Estrat pour arriver à
la Grande Grange, sur la commune de Dionay. C'est dans ce secteur
que se trouverait l'arrêt facultatif de La Sapinière, juste avant le
tunnel. La municipalité de Dionay a
gentiment aménagé un parcours pédestre qui suit, en partie, l'ancien
tramway.

401- Le sentier du tramway.

402- L'ancienne voie du tramway dans la commune de Dionay.

403- Le tunnel de Dionay.

404- Une belle vue des Alpes depuis la voie du Tramway.
Ici, on est sur le point culminant du trajet à 628
mètres. La
voie du tramway traverse des paysages avec vues sur les Alpes et le
Vercors, et puis vient le tunnel, long de 78 mètres en béton. On
arrive à la partie la plus spectaculaire du parcours sans doute puisque
notre petit tramway doit descendre 275 mètres en seulement 8 kms
avec en prime un petit ravin à traverser. Mais d'abord, on doit faire
l'arrêt de la gare de Dionay après quelques lacets un peu
violents
parfois. Voilà, dans la carte postale ancienne 405 on y
est, mais en 1910.

405- Un tramway arrive de Saint Marcellin avec ses passagers à la gare
de Dionay.

406- Dionay, un tramway traverse le viaduc sur le Furand .
Les voyageurs d'aujourdhui n'ont pas été oubliés. Même
si le
service Transisère 5250 n'est pas passé à l'Abbaye de La Trappe,
maintenant, il quitte la route de Saint Antoine pour descendre au
village de Dionay par la D27A. Lui, aussi, marque un arrêt à côté du
joli étang de Dionay, comme on peut voir dans l'image 407. L'arrêt
s'appelle 'La Sapinière', comme celui du tramway qui se trouvait pas
très loin d'ici, puisque tout de suite après le lac on arrive au Chemin
de l'Estrat. Ensuite, la route qu'on suit n'est pas moins pittoresque
que celle de l'ancien tramway, surtout en hiver quand il n'y a pas de
feuilles surs les arbres, les paysages et les vues vers les collines et
les montagnes du
Dauphiné sont superbes. On arrive au village de Dionay.

407- L'arrêt bus 'La Sapinière' et l'étang de Dionay.

408- Dionay, un regard en bas vers le talus du tramway.

409- Dionay, la bascule, l'école/Mairie, l'église et une ferme en
briques et galets.

410- L'Auberge 'La Calèche' et l'arrêt bus 'Dionay, le village'.
Le bus arrive à Dionay, passe devant le poids public,
l'école/mairie, l'église et s'arrête à son point de ramassage juste
avant l'auberge-restaurant 'La Calèche', toujours très animée et très
appréciée par les cyclo-touristes qui sont très nombreux dans le
secteur. Car, à moins de 2 km d'ici se trouve le Col de la Madeleine,
un véritable lieu de passage entre la Drôme et l'Isère. En traversant
le village, on aurait pu remarquer une centaine de mètres plus bas à
gauche, le talus de la voie du tramway, maintenant aménagé en sentier
pédestre. Un plan se trouve sur le panneau dans le parking de la
Mairie.

411- En haut du village de Dionay, le Col de la Madeleine, croisée de
chemins entre la Drôme et l'Isère,
Roybon à gauche, Romans à droite, St Antoine l'Abbaye en face et Saint
Donat sur l'Herbasse derrière.

412- Le bus Transisère 5250 rejoint la Route de St Antoine.
À gauche, dans l'image 412, on voit l'arrêt bus
'Chapponay'. Le car de Perraud voyages aux couleurs de Transisère
arrive par la petite route à gauche, la D27A, pour rejoindre la route
de Roybon à Saint Antoine, la D27, tout droit dans la photo. Mais le
tramway ne prenait pas cette route là. Il était engagé sur sa voie
propre en bas du village. Après son arrêt à la gare de Dionay, il
était obligé de traverser une petite rivière, le Furand, qui coule au
fond d'un ravin. Pour palier à cette difficulté, il a fallu construire
le beau viaduc qu'on voit dans l'image 406. Cette section du tramway a
posé tellement de problèmes pour les constructeurs de la ligne, la SFI,
que la mise en service jusqu'à Saint Marcellin a été retardée de 7 ans.
Pour rejoindre la D27, le tramway doit traverser un autre bras du
Furand par le pont en acier riveté qu'on voit dans l'image 413. Une
fois arrivé sur la départementale, il reste une descente douce pour
atteindre Saint Antoine l'Abbaye.

413- Un dernier bras du Furand à traverser pour le tramway.

414- Encore une traversée du Furand à l'entrée de Saint Antoine
l'Abbaye.

415- On arrive à l'arrêt bus et l'ancienne gare du tramway TOD de St
Antoine.
Nous arrivons à Saint Antoine L'Abbaye après une
ultime traversée du Furand. L'image 414 nous montre une rivière bien
modeste. Dans l'image 415, on approche de l'arrêt bus juste avant
l'ancienne
gare TOD, toujours dans son état d'origine, à l'extérieur au moins. Si
on regarde sur notre gauche, on a une vue magnifique sur l'église Saint
Antoine, comme on peut voir dans l'image 416. Comparé à la carte
postale des années 1910 (418), on se demande si quelque chose a
vraiment changé. Nous sommes arrivés dans un village très touristique,
il y a énormément de choses à voir. Il est même listé parmi 'Les plus
beaux villages de France'.

416- Devant la gare du tramway, aujourd'hui une habitation, une belle
vue sur l'église abbatiale de Saint Antoine.

417- Un regard en arrière à la gare TOD de St Antoine, toujours dans
son jus.

418- En 1910, on voit une vue panoramique du village avec un tram à la
gare en bas.
Dans la photo 418, on peut voir en bas à droite, la
gare
de Saint Antoine avec sa voie doublée et une petite voie de
déchargement en cul de sac. Après, la voie continue sur la D27 vers
Chatte et Saint Marcellin. Mais, avant de partir, une petite visite du
village s'impose, quand même.

419- L'entrée de la place de l'Abbaye de Saint Antoine, véritable
centre historique.

420- L'église abbatiale vue de l'entrée de la place de l'Abbaye.

421- La Grande Rue en direction de la maison du tourisme.

422- Les Halles, Saint Antoine L'Abbaye.

423- Vers St Antoine, l'arrêt du bus 'Cizières', le chemin du lac est à
droite.
Le petit tour de Saint Antoine L'Abbaye est terminé et
on est parti par la route de Chatte, la D27, mais pas pour longtemps,
dans 1.5 km, le tramway quittait
la départementale par le chemin du lac. Le bus suit aussi ce
chemin, donc nous aussi, on y va. L'arrêt bus, en 2009, était à cette
jonction, l'arrêt facultatif du
tramway 'Cizières' n'était sûrement pas bien loin non plus. Maintenant
commence un
détour par les petites routes qui traversent de très jolis paysages. À
l'époque, les chemins étaient en cailloux,
probablement des voies propres pour le tram. Maintenant la route est
goudronnée pour donner accéss au parc d'attraction à l'étang de
Chapaize, ou Chapèze à l'époque.

424- Le chemin du lac, un regard en arrière vers la route de Chatte.

425- Le tramway arrive de la gauche sur ce talus qui forme le barrage
sur le Frison à Chapaize.

426- En direction de Chatte, la voiture de Google passe devant l'arrêt
bus Chapaize.
On a pris le chemin du lac de Chapaize et tout de
suite on traverse un petit ruisseau, une tributaire du Frison, qui
alimente le lac. On y trouve le bâtiment en bois qu'on voit dans
l'image 424. Le chemin suit une grande courbe et on arrive sur un talus
qui forme le barrage de l'étang. C'est près d'ici que se trouve
l'entrée du parc d'attraction L'Île aux Pirates et puis on arrive à
l'arrêt de Chapaize, proche de l'abri-bus qu'on voit dans l'image 426,
peut-être. Le tramway poursuit sa route par le chemin de droite sur une
partie encaissée (427) pour arriver au Mas de Chapaize (428) et un
deuxième arrêt bus (429). C'était peut-être ici l'arrêt du tram, ou
peut-être les deux. Si vous avez des infos?

427- La voie du tramway continue sur une partie encaissée.

428- Sur cette partie de Chapaize, des maisons neuves.

429- Le deuxième arrêt bus de Chapaize.

430- Le tramway continue sur une partie surélevée.

431- Fin de la route goudronnée pour la voie du tram qui continue dans
les champs et bois jusqu'à la Combe de Colombés.
Nous sommes arrivés au bout de la voie du tramway sur
route goudronnée à Chapaize. On ne peut plus suivre ni en voiture, ni
en bus, on va suivre la légère courbe sur la route qu'on voit au centre
de l'image 430 pour retrouver la D27, la route de Chatte. Le tramway,
lui, continue tout droit dans le champ en face. Il prend la direction
de la Combe de Colombés à travers champs, près et bois. C'est là où on
va le retrouver sur la prochaine page.
Credits photos: 367, 376, 399, 400, 401, 402, 403,
404-
Christine et Bernard Hauguel, 372-
GoodKing,
les autres sont tirées de
Google
Streetview, des cartes postales anciennes ou mes photos persos.