Les Tramways de l'Ouest du Dauphiné (TOD).

Le Tramway de Lyon-Monplaisir à Saint Marcellin par La Côte Saint André
et celui de La Côte Saint André au Grand Lemps.

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Roybon, La Trappe, Dionay, Saint Antoine L'Abbaye.

 
Notre tramway est reparti à travers le plateau et la forêt de Chambaran sur les chemins qui sont maintenant praticables pour voiture, mais qui, il y a cent ans, au coeur de l'hiver, avaient certainement une autre allure à l'écart des routes départementales et avec un climat assez rude. On arrive à notre dernier arrêt du plateau au Grand Fayard. La population n'est pas très dense, il n'y a que quelques fermes avec  un haras et un élévage de chiens.
 

363- La Voie du Tram arrive au domaine de Grand Fayard, sur la gauche.
 

364- Au Grand Fayard, on traverse la Route de la Feyta.
 

365- Au Grand Fayard, des balades à Montfalcon et Roybon.
 

366- Au Grand Fayard, le tram repart vers Roybon.
 

367- La Voie du Tram arrive à la Route de Montfalcon à Roybon.
 

368- La Voie du Tram arrive dans la vallée de la Galaure.
 
Maintenant, nous sommes descendus du plateau par une jolie petite route et voilà nous sommes arrivés dans la haute vallée de la Galaure, une rivière qui a pris sa source dans le Chambaran et qui va rejoindre la Drôme dans une dizaine de kilomètres pour se jeter dans le Rhône à Saint Vallier après avoir traversé Montfalcon et Saint Clair sur Galaure dans l'Isère et puis, Le Grand Serre, Hauterives, Châteauneuf de Galaure, La Motte de Galaure et Saint Uze dans la Drôme. Là où nous sommes, sur la route de Montfalcon à l'entrée de Roybon, on est à 10 km du terminus de l'ancien tramway de Saint Vallier au Grand Serre, mais la frontière entre les départements interdisait à jamais la jonction entre les deux tramways probalement.
 
 

369- Le tramway traverse La Galaure sur un 'nouveau' pont.
 

370- On passe devant les Voyages Perraud.
 

371- Et puis, la Maison du Canton et de Pays.
 
 
500 mètres plus loin, on traverse un pont sur la Galaure. Si on regarde à droite sur le pont, on peut voir, dans l'image 369, les restes du soubassement de l'ancien pont sur lequel roulait, probablement, le tramway. Maintenant, on arrive devant les cars Perraud, ici, dans l"image 370, on voit un car dans les couleurs des transports du Pays Voironnais, mais ils possèdent aussi d'autres cars qui portent les enseignes de Transisère, les dignes successeurs de notre tramway TDI. Maintenant, on arrive devant une zone d'utilités publiques sur la droite. On y trouve les Sapeurs Pompiers, un vétérinaire et la Maison du Canton et du Pays de Chambaran, on la voit dans la photo 371, prise en 2009. Maintenant, c'est la maison de Communauté de Communes du Pays de Chambaran, suite à un remaniement des cantons en 2015. Roybon n'est plus chef lieu du canton, mais elle fait partie actuellement, du canton de la Bièvre, centralisé à La Côte Saint André. 
 

372- Le restaurant en galets, le Bon Roy, Roybon
 

373- Le tram passe devant l'ancien 'Café des Tramways'.
 

374- Le tramway traverse la Place Jean Perraud, vue ici en 2009.
 

375- L'arrêt bus Transisère, place Jean Perraud réaménagée, en 2012.
 
Le tramway entre en ville et il passe devant l'auberge Le Bon Roy. C'est un bâtiment fabriqué avec des galets de pays, comme on a déjà vu dans le nord-isère et le plateau de Bièvre, mais ici, à Roybon, c'est vraiment le style qui prédomine.  Le bar-restaurant est toujours actif, mais la taille de l'édifice laisse supposer qu'autrefois il y avait une forte affluence. Maintenant c'est le rendez-vous des cyclo-touristes et randonneurs qui trouvent leur plaisir dans les environs. Et puis, on traverse la place Jean Perraud, laissant à gauche, l'ancien Café des Tramways, lui aussi une magnifique construction de taille imposante en galets, mais qui, malheureusement, a fermé ses portes, apparemment. L'image 374 est prise en 2009, maintenant, comme on peut voir dans les images 375 et 376, la place a reçu une cure de jouvence.
 

376- La place Jean Perraud et les anciens bureaux et ateliers TOD.
 

377- Vue de 180° de l'arrivée et départ(à gauche) à la gare de l'ancien tramway TOD, au centre droite, on voit les bureaux et les anciens ateliers de la compagnie et au fond à droite, l'auberge Le Bon Roy.
 

378- La zone de manutention de l'ancien tramway TOD en 2012.
 
Voilà à quoi ressemble la zone de manutention du tramway à des périodes séparées d'une centaine d'années. La gare, dans un état resplendissant, est devenu le bureau de tourisme et les atéliers de réparation du tramway sont, maintenant les ateliers de réparation des voitures Renault. Le bâtiment à gauche dans l'image 378, appartient au service d'entretien routier de l'Isère.
 

379- Il y a une centaine d'années, la zone de manutention du tramway à Roybon.
 

380- Vue générale de Roybon en arrivant de l'ouest, côté Montfalcon et Chambaran.
 

381- Vue générale de Roybon, prise de la colline au sud de la ville.
 
Dans ses deux vues générales de Roybon prises à l'époque de notre tramway, on voit bien les infrastructures de la compagnie des tramways de l'Isère, à la droite de l'image 380 et plus largement sur l'image 380. Mais, avant de quitter cette ville un peu perdue entre toutes ces collines, une petite virée au centre s'impose. D'abord, il y a la fameuse Statue de la Liberté, visible dans l'image 382, donnée par le sculpteur Bartholdi à son ami Mathias Saint-Romme, maire de Roybon, en honneur de son père Henri qui était un homme politique célébre de l'époque. La statue fut érigée en 1906 et surmonte  un monument à Henri Saint Romme  du sculpteur Auguste Davin. Il y a plusieurs bâtiments intéressants à regarder, mais les plus caractéristiques sont sûrement ceux fabriqués en galets et briques rouges, les matériaux disponibles sur place. L'image 382 montre la jolie petite pharmacie et la photo 384 montre la belle église, érigée en 1878. La ville reste assez animée, le tramway, dans son temps, était certainement un atout considérable pour la ville. Maintenant, il y a le projet Center Parcs qui est sur la table pour redynamiser la ville, je vous laisse faire votre propre opinion. Mais, nous n'avons plus de temps à perdre, si on veut arriver à Saint Marcellin avant la nuit, il faut rapidement reprendre le tramway qui nous attend.
 

382- La Statue de la Liberté, fidéle réplique de l'originale, face à la mairie, Roybon.
 

383- La pharmacie en galets et briques de Roybon.
 

384- L'église en galets et briques rouge de Roybon.
 

385- Le lac de Roybon et le Camping de l'Aigue Noire vus du ciel.
 
Nous sommes partis de Roybon par la Route de Saint Antoine, mais le tramway, lui, suivait la rive droite de l'Aigue Noire, la rivière qui coule en bas de la ville de Roybon et qui rejoint la Galaure, juste avant le pont qu'on a vu, à l'entrée de la ville. Maintenant, on a fait un magnifique lac avec la construction d'un barrage.  Au bout du lac, il y a le camping municipal. L'ensemble de l'étang de pêche et du terrain de loisirs est un attrait touristique indéniable. Maintenant, on arrive au bout du lac et du camping, en bas à gauche dans l'image 385. Dans l'image 386, on peut imaginer le tramway arrivant par le petit sentier derrière le portail au bout du camping, en face de la route de Chevrières, à droite dans l'image 386.
 

386- La route de Saint Antoine qui vient de Roybon, à gauche, le camping.
 

387- Le pont sur l'Aigue Noire et le camping de Roybon.
 

388- L'arrêt bus 'Camping' du bus Transisère actuel.
 
Le tramway a, maintenant, rejoint la route de Saint Antoine et s'apprête à traverser l'Aigue Noire. De nos jours il y a un beau pont sur ce qui est, en temps normal, un petit ruisseau, mais qui peut bien gonfler par un temps pluvieux. Le pont d'origine était sûrement en galets. De l'autre côté du pont, dans l'image 388, on voit l'entrée du camping à droite, mais aussi, l'arrêt du bus Transisère 5250. C'est le service de Roybon à Saint Marcellin qui remplace le tramway. La concessionnaire est, bien sûr, Perraud Voyages de Roybon. Le tram continue sur cette route, le GC20 de l'époque, maintenant la D20, sur la droite de la chaussée en suivant la rive gauche de l'Aigue Noire. Dans l'image 389, on peut voir à droite de la Route de Saint Antoine, l'Impasse de Gargamelle qui traverse notre petit ruisseau, parmi des paysages magnifiques.
 

389- La route suit l'Aigue Noire, ici, à l'Impasse de Gargamelle.
 

390- L'arrêt bus 'L'Aigue Noire' du bus à droite.
 

391- Le tramway prend à gauche sur la Route de La Trappe.
 
La photo 391 montre la Route de La Trappe en décembre 2009. C'est la route que prenait le tramway une centaine d'années auparavant. On a pris de la hauteur par rapport à Roybon (500 m) et même au plateau du Camp de Chambaran (568 m). On est dans le Bois de Gargamelle, à plus de 600 mètres d'altitude. Les hivers peuvent être rudes, on imagine notre Pinguely 030t en train d'écarter des congères ou de glisser sur des rails glacés. Le bus Transisère actuel ne passe plus à La Trappe mais continue tout droit directement à Dionay.
 

392- On arrive à l'entrée du l'Abbaye de La Trappe de Chambaran.
 

393- Un tramway arrive à la station de La Trappe en provenance de Saint Marcellin.
 

394- L'entrée de l'Abbaye de La Trappe de Chambaran.
 

395- Le portail de l'Abbaye ouvert au public.
 

396- À l'intérieur de l'Abbaye; l'entrée de l'église.
 
Le tramway a pris la vallée du Galauret, un ruisseau qui alimente l'Aigue Noire. C'est là où on a fondé, à partir de 1868, sur les ruines d"une vieille ferme abondonnée, une Abbaye capable d'accueillir une quarantaine de moines. Leur activité principale était la fabrication de bière. Après l'expulsion des moines en 1903, la brasserie est prise en main par un brasseur Roybonnais, qui conserve le nom Brasserie de la Trappe de Chambarand, mais qui doit cesser ses activité en 1922. 1931 sera marquée par l'arrivée des religieuses, qui se spécialisent dans la production de fromage, qui cessera également en 2003. Actuellement , la communauté compte 32 sœurs qui vivent des produits de leur ferme et des recettes de leur magasin de produits monastiques. Récemment, un brasseur de Saint Étienne de Saint Geoirs a repris la production de bière, sous le nom Brasserie de Chambaran. L'image 393 montre un tram voyageurs  qui arrive de Saint Marcellin à l'arrêt de La Trappe, en référence aux moines, des trappistes, qui y habitaient. Officiellement, l'arrêt était classé comme station, ce qui indiquerait la présence, peut-être, d'un petit abri, si il y en avait un, on ne le voit pas sur les photos. Ce qu'on voit est le dédoublement des voies pour les besoins de chargements et manipulations des wagons et locomotives. Ensuite, le tramway passe devant un lac formé par un barrage sur le Galauret. C'est une jolie réserve d'eau et un étang de pêche. Si le tramway continuait sur cette route, il arriverait directement à Saint Marcellin, donc pour récupérer son trajet vers Saint Antoine il doit suivre sa propre route à travers bois et champs, ce qui explique la grande courbe de la voie dans l'image 397. Comme on peut voir dans l'image 398, le talus du tramway est toujours visible, surtout en hiver.
 

397- Un tramway quitte la station 'La Trappe' et commence son chemin en voie propre.
 

398- On regarde en arrière vers l'Abbaye, à gauche, le talus de l'ancien tramway.
 
 

399- Après avoir quitté La Trappe, le tramway part en voie propre.
 

400- Le tramway part à travers bois et champs en voie propre.
 
Le tramway traverse des bois et des champs pour s'approcher de sa prochaine étape. On traverse le Chemin de l'Estrat pour arriver à la Grande Grange, sur la commune de Dionay. C'est  dans ce secteur que se trouverait l'arrêt facultatif de La Sapinière, juste avant le tunnel. La municipalité de Dionay a gentiment aménagé un parcours pédestre qui suit, en partie, l'ancien tramway.
 

401- Le sentier du tramway.
 

402- L'ancienne voie du tramway dans la commune de Dionay.
 

403- Le tunnel de Dionay.
 

404- Une belle vue des Alpes depuis la voie du Tramway.
 
Ici, on est sur le point culminant du trajet à 628 mètres.  La voie du tramway traverse des paysages avec vues sur les Alpes et le Vercors, et puis vient le tunnel, long de 78 mètres en béton. On arrive à la partie la plus spectaculaire du parcours sans doute puisque notre petit tramway doit descendre 275 mètres en seulement  8 kms avec en prime un petit ravin à traverser. Mais d'abord, on doit faire l'arrêt de la gare de Dionay  après quelques lacets un peu violents parfois. Voilà,  dans  la carte postale ancienne 405 on y est, mais en 1910.
 
 

405- Un tramway arrive de Saint Marcellin avec ses passagers à la gare de Dionay.
 

406- Dionay, un tramway traverse le viaduc sur le Furand .
 
 
Les voyageurs d'aujourdhui n'ont pas été oubliés. Même si le service Transisère 5250 n'est pas passé à l'Abbaye de La Trappe,  maintenant, il quitte la route de Saint Antoine pour descendre au village de Dionay par la D27A. Lui, aussi, marque un arrêt à côté du joli étang de Dionay, comme on peut voir dans l'image 407. L'arrêt s'appelle 'La Sapinière', comme celui du tramway qui se trouvait pas très loin d'ici, puisque tout de suite après le lac on arrive au Chemin de l'Estrat. Ensuite, la route qu'on suit n'est pas moins pittoresque que celle de l'ancien tramway, surtout en hiver quand il n'y a pas de feuilles surs les arbres, les paysages et les vues vers les collines et les montagnes du Dauphiné sont superbes. On arrive au village de Dionay.
 

407- L'arrêt bus 'La Sapinière' et l'étang de Dionay.
 

408- Dionay, un regard en bas vers le talus du tramway.
 

409- Dionay, la bascule, l'école/Mairie, l'église et une ferme en briques et galets.
 

410- L'Auberge 'La Calèche' et l'arrêt bus 'Dionay, le village'.
 
Le bus arrive à Dionay, passe devant le poids public, l'école/mairie, l'église et s'arrête à son point de ramassage juste avant l'auberge-restaurant 'La Calèche', toujours très animée et très appréciée par les cyclo-touristes qui sont très nombreux dans le secteur. Car, à moins de 2 km d'ici se trouve le Col de la Madeleine, un véritable lieu de passage entre la Drôme et l'Isère. En traversant le village, on aurait pu remarquer une centaine de mètres plus bas à gauche, le talus de la voie du tramway, maintenant aménagé en sentier pédestre. Un plan se trouve sur le panneau dans le parking de la Mairie.
 

411- En haut du village de Dionay, le Col de la Madeleine, croisée de chemins entre la Drôme et l'Isère, Roybon à gauche, Romans à droite, St Antoine l'Abbaye en face et Saint Donat sur l'Herbasse derrière.
 

412- Le bus Transisère 5250 rejoint la Route de St Antoine.
 
À gauche, dans l'image 412, on voit l'arrêt bus 'Chapponay'. Le car de Perraud voyages aux couleurs de Transisère arrive par la petite route à gauche, la D27A, pour rejoindre la route de Roybon à Saint Antoine, la D27, tout droit dans la photo. Mais le tramway ne prenait pas cette route là. Il était engagé sur sa voie propre en bas du village.  Après son arrêt à la gare de Dionay, il était obligé de traverser une petite rivière, le Furand, qui coule au fond d'un ravin. Pour palier à cette difficulté, il a fallu construire le beau viaduc qu'on voit dans l'image 406. Cette section du tramway a posé tellement de problèmes pour les constructeurs de la ligne, la SFI, que la mise en service jusqu'à Saint Marcellin a été retardée de 7 ans. Pour rejoindre la D27, le tramway doit traverser un autre bras du Furand par le pont en acier riveté qu'on voit dans l'image 413. Une fois arrivé sur la départementale, il reste une descente douce pour atteindre Saint Antoine l'Abbaye.
 

413- Un dernier bras du Furand à traverser pour le tramway.
 

414- Encore une traversée du Furand à l'entrée de Saint Antoine l'Abbaye.
 

415- On arrive à l'arrêt bus et l'ancienne gare du tramway TOD de St Antoine.
 
Nous arrivons à Saint Antoine L'Abbaye après une ultime traversée du Furand. L'image 414 nous montre une rivière bien modeste. Dans l'image 415, on approche de l'arrêt bus juste avant l'ancienne gare TOD, toujours dans son état d'origine, à l'extérieur au moins. Si on regarde sur notre gauche, on a une vue magnifique sur l'église Saint Antoine, comme on peut voir dans l'image 416. Comparé à la carte postale des années 1910 (418), on se demande si quelque chose a vraiment changé. Nous sommes arrivés dans un village très touristique, il y a énormément de choses à voir. Il est même listé parmi 'Les plus beaux villages de France'.
 

416- Devant la gare du tramway, aujourd'hui une habitation, une belle vue sur l'église abbatiale de Saint Antoine.
 

417- Un regard en arrière à la gare TOD de St Antoine, toujours dans son jus.
 

418- En 1910, on voit une vue panoramique du village avec un tram à la gare en bas.
 
Dans la photo 418, on peut voir en bas à droite, la gare de Saint Antoine avec sa voie doublée et une petite voie de déchargement en cul de sac. Après, la voie continue sur la D27 vers Chatte et Saint Marcellin. Mais, avant de partir, une petite visite du village s'impose, quand même.
 

419- L'entrée de la place de l'Abbaye de Saint Antoine, véritable centre historique.
 

420- L'église abbatiale vue de l'entrée de la place de l'Abbaye.
 

421- La Grande Rue en direction de la maison du tourisme.
 

422- Les Halles, Saint Antoine L'Abbaye.
 

423- Vers St Antoine, l'arrêt du bus 'Cizières', le chemin du lac est à droite.
 
Le petit tour de Saint Antoine L'Abbaye est terminé et on est parti par la route de Chatte, la D27, mais pas pour longtemps, dans 1.5 km, le tramway quittait la départementale par le chemin du lac. Le bus suit aussi ce chemin, donc nous aussi, on y va. L'arrêt bus, en 2009, était à cette jonction, l'arrêt facultatif du tramway 'Cizières' n'était sûrement pas bien loin non plus. Maintenant commence un détour par les petites routes qui traversent de très jolis paysages. À l'époque, les chemins étaient en cailloux, probablement des voies propres pour le tram. Maintenant la route est goudronnée pour donner accéss au parc d'attraction à l'étang de Chapaize, ou Chapèze à l'époque.
 

424- Le chemin du lac, un regard en arrière vers la route de Chatte.
 
 

425- Le tramway arrive de la gauche sur ce talus qui forme le barrage sur le Frison à Chapaize.
 

426- En direction de Chatte, la voiture de Google passe devant l'arrêt bus Chapaize.
 
 
On a pris le chemin du lac de Chapaize et tout de suite on traverse un petit ruisseau, une tributaire du Frison, qui alimente le lac. On y trouve le bâtiment en bois qu'on voit dans l'image 424. Le chemin suit une grande courbe et on arrive sur un talus qui forme le barrage de l'étang. C'est près d'ici que se trouve l'entrée du parc d'attraction L'Île aux Pirates et puis on arrive à l'arrêt de Chapaize, proche de l'abri-bus qu'on voit dans l'image 426, peut-être. Le tramway poursuit sa route par le chemin de droite sur une partie encaissée (427) pour arriver au Mas de Chapaize (428) et un deuxième arrêt bus (429). C'était peut-être ici l'arrêt du tram, ou peut-être les deux. Si vous avez des infos?
 

427- La voie du tramway continue sur une partie encaissée.
 

428- Sur cette partie de Chapaize, des maisons neuves.
 

429- Le deuxième arrêt bus de Chapaize.
 

430- Le tramway continue sur une partie surélevée.
 

431- Fin de la route goudronnée pour la voie du tram qui continue dans les champs et bois jusqu'à la Combe de Colombés.
 
Nous sommes arrivés au bout de la voie du tramway sur route goudronnée à Chapaize. On ne peut plus suivre ni en voiture, ni en bus, on va suivre la légère courbe sur la route qu'on voit au centre de l'image 430 pour retrouver la D27, la route de Chatte. Le tramway, lui, continue tout droit dans le champ en face. Il prend la direction de la Combe de Colombés à travers champs, près et bois. C'est là où on va le retrouver sur la prochaine page.
 
Credits photos: 367, 376, 399, 400, 401, 402, 403, 404- Christine et Bernard Hauguel, 372- GoodKing,
les autres sont tirées de Google Streetview, des cartes postales anciennes ou mes photos persos.
 
 
©Trevor Hornsby/Slip Sliding 2017